• Une sensation aussi magique, qu'étincelante

    s'empare d'elle à tout moment

    lorsque la voix de celui qu'elle aime

    raisonne à ses oreilles

     

    Camille (14 ans)


    votre commentaire
  • L'homme qui n'est que beau l'est seulement pendant qu'on le regarde

    L'homme sage et bon est toujours beau

    Sappho.


    votre commentaire
  •  

    Ferme les yeux, respire doucement, longuement...

    Ne pense qu'à toi-même, à ton corps, à ton être,

    A la position que tu occupes dans l'univers.

    Tout tourne autour de toi.

    Concentre-toi sur la force que tu possèdes,

    sur la flamme qui te permet, d'aimer, de sourire et de vivre.

    Ton existence est reliée au décisions que tu prends....

    Regarde toute la beauté qui t'entoure....

     

    Maintenant fais de beaux rêves !

    Bonne nuit !


    votre commentaire
  •  

    Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer

     

    Elle est gaie et pensive, elle nous fait songer

    A tout ce qui reluit malgré de sombres voiles,

    Aux bois pleins de rayons, aux nuits pleines d'étoiles.

    L'esprit en la voyant s'en va je ne sais où

    Elle a tout ce qui peut rendre un pauvre homme fou.

    Tantôt c'est un enfant, tantôt c'est une reine.

    Hélas ! Quelle beauté radieuse et sereine !

    Elle a de fiers dédains, de charmantes faveurs,

    Un regard doux et bleu sous de longs cils rêveurs,

    L'innocence, et l'amour qui sans tristesse encore

    Flotte empreint sur son front comme une vague aurore,

    Et puis je ne sais quoi de calme et de vainqueur !

    Et le ciel  dans ses yeux met l'enfer dans mon coeur !

     

    Victor Hugo (1802-1885).


    1 commentaire
  • Ode aux Elfes

     

    Vous êtes issus de la légende celtique,

    Petits êtres irréels aux pouvoirs mystiques ;

    Vos faciès lunaire, votre peau satinée,

    Fascinent toujours les esprits évadés.

     

    Puis la nuit venue, une nuée scintillante,

    s'attribue la splendeur des lacs gelés

    Et sur les nénuphars, sous le ciel étoilé

    Un parfum se dégage, senteur entêtante...

     

    Les autans frileux ouvrent le bal des fées ;

    Des voiles vaporeux se mêlent aux libellules,

    De longues danses dédiées aux incrédules

    Sont bien vite noyées dans la pâle clarté.

     

    Ne vous aventurez pas par ces sentiers myrteux !

    Car ces petits êtres, pourtant si gracieux,

    Unissent par leurs colères, foudre et cruauté.

    Feu et sang guettent alors les curieux condamnés.

     

    Cette fin n'attend pas les âmes vérouillées

    Par une clé raisonnable, si pénible à porter.

    Car seuls les yeux aimables de mortels candides

    Aperçoivent dans la brume de ce monde si vide

    Les formes discrètes de probables petits anges,

     

    Défi à la tristesse des coeurs emplis de fange.

     

    Lisette3n.


    votre commentaire