•  

    Il est des places où j'aime m'aventurer,

    Places où la vie semble de courte durée,

    Ce sont les places de mon pays imaginaire.

     

    Vous ai-je conté des contes de cette lointaine terre ?

    Vous ai-je dit qui étaient ses habitants ?

    Vous ai-je dit qu'étaient mes passe-temps d'antan ?

     

    Dans ce monde, ne manquent ni fées, ni anges,

    Il s'y passe parfois des choses étranges,

    Choses sans explications, évènements heureux,

     

    Tout le monde se montre bon et généreux...

    On y trouve des escaliers montant vers le ciel,

    On y trouve pour devenir heureux l'essentiel.

     

    Mais voyez ce monde magique est irréel,

    Un pays où n'existe la moindre once de fiel

    Est une terre provenant du surnaturel,

     

    Là où la vie serait aussi douce que le miel !

    Ce pays porte pour nom "Monde Imaginaire"

    Monde où l'être humain ne créera guère son ère !

     

    Volazurys.


    16 commentaires
  •  

    La grenouille

     

    Une grenouille

    Qui fait surface

    Ca crie, ça grouille

    Et ça agace.

     

    Ca se barbouille

    Ca se prélasse

    Ca tripatouille

    Dans la mélasse,

     

    Puis ça rêvasse

    Et ça coasse

    Comme une contrebasse

    Qui a la corde basse.

     

    Mais pour un héron à échasses,

    Une grenouille grêle ou grasse

    Qui se brochette ou se picore,

    Ce n'est qu'un sandwich à ressort.

     

    Pierre Coran.


    9 commentaires
  •  

    L'automne est une demeure d'or et de pluie.

     

    Jacques Chessex.


    10 commentaires
  •  

    Les femmes ont aussi leurs saisons, l'été ne dure pas toujours et après l'été...

    Ah oui ! Les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !!

    Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne ?

     

    Francois Dumoulin Tessier.



    1 commentaire
  •  

    Les humains ne sont pas le résultat final d'un progrès évolutif prédictible mais plutôt une minuscule brindille sur l'énorme buisson arborescent de la vie.

     

    Stephen Jay Gould.


    7 commentaires