L'amour impossible

Au fond de moi

Réside ce poids

Grâce auquel mon coeur se tord quand je te vois

Qui déchire mon âme et me broie

Je ne me comprends plus, je voudrais t'oublier

Je voudrais tant te haïr

Je voudrais, de toute mon âme, te maudire

Je voudrais plus que tout me venger

Mais ce poids sur mon coeur m'empêche d'agir et d'avancer

Il m'emprisonne au creux de mille tourments

Et je m'aperçois que plus rien n'est possible malheureusement

Même te détester...

Impossible de nous aimer et impossible aussi de nous vouloir du mal

Impossible de se parler, mais impossible de rester de marbre

Impossible de se regarder en face, mais impossible de s'ignorer

Impossible de se toucher, mais impossible de s'oublier !

Voilà l'amour impossible

L'histoire d'une jeune fille et d'un garçon

Qui se sont aimés malgré l'inadmissible

Qui se sont déchirés

Et qui ne pourront jamais l'oublier !

Vanill974.

La rose rouge

La rose rouge symbolise l'amour

Qui vient de notre coeur rempli d'amour

La rose a besoin de la chaleur du soleil

Comme nous avons besoin de la chaleur humaine

L'eau aide la rose à s'épanouir

Comme nous avons besoin de l'eau pour s'hydrater et grandir

Nous avons tous besoin de notre famille

Comme la rose a besoin de son feuillage

La rose est belle et douce

Comme la feuille qui vient de tomber d'un arbre

Le tout symbolise la vie qui est si fragile

Comme une rose que l'on vient de cueillir.

Sarah Hamze.

Le mariage est la traduction en prose du poème de l'amour.

Alfred Bougeard.

Ta bouche est un îlot

Ou débarquent des bateaux,

Les mots.

Ton nez est un chemin

Quelquefois inondé,

Chagrin.

Ton front est un journal

Etrangement imprimé,

de pensées.

Tes yeux sont des fenêtres

Ou j'aime apparaître...

Et rêver.

Nikita.

Une femme est l'amour

Une femme est l'amour, la gloire et l'espérance ;

Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé,

Elle élève le coeur et calme la souffrance

Comme un esprit des cieux sur la terre exilé.

Courbé par le travail ou par la destinée

L'homme à sa voix s'élève et son front s'éclaircit,

Toujours impatient dans sa course bornée,

Un sourire le dompte et son coeur s'adoucit.

Dans ce siècle de fer la gloire est incertaine ;

Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner.

Mais qui n'aimerait pas, dans sa grâce sereine,

La beauté qui la donne ou qui la fait gagner ?

Gérard De Nerval (1808-1855).